Attention, cet article sera bientôt censuré par Ecran Large ! Je vous raconte mes 6 mois passés sous une fausse identité dans cet antre du wokisme.
Cheveux orange basés sur leur immonde logo, t-shirt froissé de Portrait de la jeune fille en feu et vernis aux couleurs de l’arc-en-ciel LGBTQIA+ sur les ongles, voilà comment je me suis infiltré pendant un an dans la rédaction d’Ecran Large. En tant que journaliste à Faits actuels et ZNews, j’ai été grandement inspiré par l’enquête de Nora Bussigny sur les wokes (qui mériterait un Pulitzer, si vous voulez mon avis). L’hypocrisie d’Ecran Large méritait à son tour d’être démasquée, et après des semaines de recherche, j’ai réussi à avoir mon ticket d’entrée dans la rédaction : un stage.
À l’entretien d’embauche, j’ai bien évidemment cité mes classiques : Xavier Dolan, Céline Sciamma et Barry Jenkins, même si j’ai failli déraper en convoquant mon amour sincère de Cédric Jimenez. Ils n’y ont vu que du feu, et c’est de cette façon que j’ai pu infiltrer pendant 6 mois l’open-space de la rédaction. J’y ai appris des choses édifiantes sur la fabrique de cet empire du wokisme, dont le pouvoir titanesque sur le monde culturel m’empêche de publier cet article dans un journal sérieux (comme Le Figaro). C’est pourquoi je pirate, une ultime fois, le site pour vous livrer la vérité, rien que la vérité.
Ecran Large est une rédaction d’aigris
La première observation qui m’a frappé, lors de mon entrée dans ces bureaux à l’odeur rance et aux vieilles tasses de café à moitié collées sur les tables, c’est cette aversion profonde pour… le cinéma. Car si toute cette (soi-disant) joyeuse rédaction n’a de cesse de vendre ses papiers sous l’étendard de la “passion” et de la “cinéphilie”, dans les faits, ces gens-là n’aiment rien, et notamment pas les films. Voilà pourquoi ils tartinent leur site de sinistres diatribes.
Pourtant, on pourrait croire qu’ils apprécient leur quotidien de films et de siestes dans les salles les plus huppées de Paris où ont lieu les projections presse ! Je n’ai moi-même jamais eu le droit de me rendre à de telles projections, mais je me rappelle avoir vu Geoffrey (le gourou qui leur sert de rédacteur en chef) revenir en se félicitant d’avoir bénéficié d’une distribution de caviar et d’un massage des pieds pendant le film.
Ecran Large en projection presse
Mais pensez-vous que ces privilèges adouciraient le cœur de l’équipe face au travail acharné rendu par un pauvre petit réalisateur en manque de reconnaissance et qui tremble comme une feuille à l’idée de lire ses premières critiques du mercredi ? Comme Zack Snyder, par exemple ?
Que nenni ! Et il y a une raison précise à cela. Le critique de cinéma tel que le conçoit Ecran Large déteste tout ce qui le renvoie un tant soit peu à l’échec de sa propre vie. On le sait : un critique n’est qu’un cinéaste raté, qui ne trouve rien de mieux à faire de sa vie que de cracher sur le talent des autres pour oublier qu’il n’en a pas. Triste monde que celui de cette rédaction nourrie par la haine d’un art qu’elle est censée révérer (comment expliquer autrement leur rejet systématique des remakes live-action de Disney ?).
Il était pourtant bien, ce film
Je sais désormais, et vous savez aussi, ce que cachent les insupportables jeux de mots et “vannes” (comme ils les appellent) des articles du site : les larmes amères de ceux qui auraient voulu être des artistes (pour pouvoir faire leur numéro) sans jamais en avoir eu l’étoffe. Mais ce triste constat n’était que le début de mes sombres découvertes au sein d’une rédaction pourrie jusqu’à l’os…
Ce que cachent les “blagues” de leurs articles…
Ecran Large a un agenda politique
Tout le monde le sait : le cinéma est un art, ou plutôt un divertissement, foncièrement apolitique. Mais pas pour l’équipe d’Ecran Large, qui se réfère toujours à cette maxime, inscrite en lettres d’or sur le plus grand mur de la rédaction : “In woke we trust”. Qu’il faille attester de son adhésion au parti La France Insoumise et savoir réciter par coeur toutes les lettres de l’acronyme LGBT+ pour entrer, soit. Mais leur opération de propagande politique ne s’arrête pas aux portes de leur squat.
Leur grille de lecture est simple : passé un certain pourcentage de mélanine blanche, l’appréciation négative est garantie. Les films ayant bénéficié d’une avance sur recette du CNC (ce que les gens normaux appellent “subventions”) sont privilégiés. Les relations hétérosexuelles sont admises, à condition toutefois qu’elles aient une utilité dans l’histoire.
Comble de mon engagement pour la vérité, j’ai dû survivre 6 mois sans manger de viande
Vous pensiez lire des analyses objectives, dépourvues de toute prise de position, comme devraient l’être toutes les bonnes critiques ? Perdu. Celles d’Ecran Large sont plus qu’orientées : elles sont militantes. Réhabilitation de la propagande communiste, analyse anarchomarxiste du dernier Avatar, apologie du terrorisme écologique… ils ne reculent devant rien pour endoctriner leur audience la plus jeune.
Objectif : donner le goût du communautarisme à une génération entière. La machine est bien rodée et s’inscrit dans une démarche à grande échelle. Le succès énorme du film Barbie est bien le résultat d’une coalition des médias européens et américains en faveur du féminisme anti-homme. Contre la vérification de l’apophtegme “Go woke, go broke”, il fallait agir. Ils ont su manipuler l’opinion.
Une véritable croisade contre les délicieux effluves de burnes
Un exemple parmi d’autres de l’agenda woke, islamo-gauchiste, judéo-bolvéchik, SJW, cheveux bleus (barrez la mention utile) de ce média, dont le orange prononcé rappelle le rouge des communistes, et qui s’inscrit dans un mouvement mondial contre la virilité masculine et la culture occidentale. Mais bien entendu, ce sont toujours les lobbys, le fameux lobby LGBT en tête, qui ont le dernier mot.
Ce qu’il vous arrive quand vous lisez un article Ecran Large
ecran large est payé pour aimer/détester les films
Vous le savez et je peux le confirmer : ils sont payés pour écrire.
Quand ils aiment un film, c’est qu’ils ont été payés par ceux qui ont fait le film (environ 3,6 millions d’euros par rédacteur). Quand ils n’aiment pas un film, c’est qu’ils ont été payés par un autre studio (environ 5,7 millions), ou parce qu’ils veulent se venger de ne pas avoir été payés. Quand ils ont un avis mitigé, c’est qu’ils ont été payés, mais pas assez (1 seul pauvre petit million). Chaque critique cache une magouille, un règlement de compte, une stratégie.
Tous les jeudis, la réunion de rédaction commence par le même rituel : la personne du département compta (elle s’appelle Cécile, mais je pense que c’est un pseudonyme) vient faire un rapport sur les virements bancaires reçus. Ensuite, l’équipe décide des notes attribuées aux films.
Réunion de rédaction d’Ecran Large – jeudi 7 septembre 2023
S’il y a un conflit (quelqu’un aime un film, mais on ne les paye pas, quelqu’un n’aime pas un film, mais ils ont déjà reçu l’argent), le problème est réglé en un instant : la note est changée.
Je n’ai pas eu accès aux détails, mais j’ai compris qu’il y avait une sorte de programme de fidélité pour les studios payant souvent Ecran Large, avec une remise de 10%, des cadeaux en nature (des légendes moins moqueuses sous les photos, une image principale moins laide), et la possibilité d’aller dans les propriétés d’Ecran Large à travers le monde (j’ai notamment entendu parler d’une soirée Unlock organisée par Judith dans un chalet en Laponie, et d’un tournoi Mario Kart IRL proposé par Alexandre dans le désert de Dubaï).
Et encore, je n’ai pas parlé de leurs liens avec le CNC
J’ai d’ores et déjà contacté M. Cyril Hanouna et Mediapart pour leur livrer toutes ces informations. S’ils sont là pour parler des dîners copieux de François de Rugy, j’espère qu’ils auront l’honnêteté de s’attaquer au train de vie d’Ecran Large (le tristement célèbre coussin Nicolas Cage vaut plusieurs dizaines de homards).
Cet article sera rapidement dépublié et détruit, mais je n’ai pas peur. Je n’ai plus peur. La bataille continuera grâce à l’achat de mon livre Les nouveaux critiques de cinéma : l’enquête d’un infiltré en terres subventionnées, autopublié par moi-même et disponible sur Instagram. Vous trouverez aussi le lien vers mon Patreon, si vous souhaitez m’aider dans ce combat de civilisation.